Jolie blonde, 18 ans, étudiante, Ombe est également une fille dotée d'un sacré caractère. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, et il y a de quoi: Ombe a la particularité d'être quasi incassable et de pouvoir encaisser sans dommage les coups les plus violents. En mission pour l'Association dans un lycée, cependant, elle règle d'une manière très personnelle un problème posé par des gobelins, dérogeant au passage à la règle fondamentale de discrétion que doivent respecter tous les agents. Furieux, Walter lui confie une autre mission, loin de la civilisation, cette fois. Ombe n'est pas enthousiasmée par l'idée de se retrouver à la campagne, mais avec sa nouvelle mission, elle ne risque pas de s'ennuyer...
Sans surprise, j'ai découvert Pierre Bottero grâce à la Quête d'Ewilan et les Mondes d'Ewilan (L'Immonde Ewilan comme qui dirait XD) assez tard d'ailleurs (pour moi, en tout cas). On m'avait offert le tout dernier tome des Mondes d'Ewilan l'année de sa sortie (en 2005, donc) croyant que j'avais lu les autres, ce qui n'était pas le cas, donc ce livre a pris la poussière dans ma bibliothèque pendant un long moment. J'ai lu le premier tome des Mondes d'Ewilan l'été suivant, mais comme je n'avais pas lu la première trilogie, beaucoup de choses m'ont échappé et du coup ça ne m'avait pas vraiment marquée. J'ai acheté les deux premiers tomes de La Quête d'Ewilan sur un coup de tête à la fin de ma première année de khâgne (2008-2009) et finalement je m'y suis sérieusement attelé l'année suivante, en commençant par le commencement. Il faut croire que ça m'a plu, car j'ai lu les deux trilogies à la suite en une semaine, alors que j'étais en concours blancs! Voilà pour la petite histoire sans intérêt.
Un second tome aussi bon que le premier, avec un personnage particulièrement agréable à suivre. Ombe est aux antipodes de son collègue du premier tome, mais pas moins intéressante. Ses méthodes pour être différentes n'en sont pas moins efficaces et l'humour qui parcours tout le livre est très différent de celui du premier. Plus subtil sans doute. On sent qu'Ombe est d'une certaine manière plus mûre que Jasper, et c'est plutôt sympathique.
Par ailleurs, les apparitions du personnage qui parsemaient déjà le tome 1 sont réécrites dans celui ci du point de vue de la demoiselle, et la connexion qui s'établit ainsi entre le tome 1 et le tome 2 et d'autant plus intéressante. On ne peut pas s'empêcher de se rappeler la même scène vue du point de vue de Jasper et le décalage entre les deux s'avère souvent assez drôle.
Encore une fois, pas de temps mort dans cette histoire, qui démarre même sur les chapeaux de roue. Ombe est beaucoup plus énergique que Jasper, par certains côtés (en même temps, elle est incassable, elle peut se le permettre XD), et elle a plutôt tendance à agir qu'à réfléchir posément. Ce qui n'empêche pas encore une fois les rouages et arcanes de l'Association d'être décortiqués, les personnages déjà rencontrés dans le tome 1 d'être réexaminés. On pourrait trouver cela répétitif, mais les caractères très différents de Jasper et Ombe permettent de porter à chaque fois un regard neuf sur des éléments déjà connus (sauf mademoiselle Rose qui est décidément toujours aussi inquiétante...). On se prend inévitablement à comparer les deux personnages à refaire les parallèles (au moment où Ombe fait ceci, Jasper doit être occupé à faire cela etc...) Bref, j'avoue que l'idée de faire s'entrecroiser les deux histoires m'a assez plu. Et on peut supposer que les deux personnages ont des similitudes plus grandes que les deux auteurs veulent bien nous le faire croire.
Une fois de plus, le plus grand défaut de cette histoire est d'être beaucoup trop courte! D'autant que maintenant il faut attendre mars 2011 avant de pouvoir lire la suite. Maintenant que les deux personnages nous sont connus, les interactions entre les deux devraient être de plus en plus significatives. Il ne reste plus qu'à prendre son mal en patience.
Un second tome aussi bon que le premier, avec un personnage particulièrement agréable à suivre. Ombe est aux antipodes de son collègue du premier tome, mais pas moins intéressante. Ses méthodes pour être différentes n'en sont pas moins efficaces et l'humour qui parcours tout le livre est très différent de celui du premier. Plus subtil sans doute. On sent qu'Ombe est d'une certaine manière plus mûre que Jasper, et c'est plutôt sympathique.
Par ailleurs, les apparitions du personnage qui parsemaient déjà le tome 1 sont réécrites dans celui ci du point de vue de la demoiselle, et la connexion qui s'établit ainsi entre le tome 1 et le tome 2 et d'autant plus intéressante. On ne peut pas s'empêcher de se rappeler la même scène vue du point de vue de Jasper et le décalage entre les deux s'avère souvent assez drôle.
Encore une fois, pas de temps mort dans cette histoire, qui démarre même sur les chapeaux de roue. Ombe est beaucoup plus énergique que Jasper, par certains côtés (en même temps, elle est incassable, elle peut se le permettre XD), et elle a plutôt tendance à agir qu'à réfléchir posément. Ce qui n'empêche pas encore une fois les rouages et arcanes de l'Association d'être décortiqués, les personnages déjà rencontrés dans le tome 1 d'être réexaminés. On pourrait trouver cela répétitif, mais les caractères très différents de Jasper et Ombe permettent de porter à chaque fois un regard neuf sur des éléments déjà connus (sauf mademoiselle Rose qui est décidément toujours aussi inquiétante...). On se prend inévitablement à comparer les deux personnages à refaire les parallèles (au moment où Ombe fait ceci, Jasper doit être occupé à faire cela etc...) Bref, j'avoue que l'idée de faire s'entrecroiser les deux histoires m'a assez plu. Et on peut supposer que les deux personnages ont des similitudes plus grandes que les deux auteurs veulent bien nous le faire croire.
Une fois de plus, le plus grand défaut de cette histoire est d'être beaucoup trop courte! D'autant que maintenant il faut attendre mars 2011 avant de pouvoir lire la suite. Maintenant que les deux personnages nous sont connus, les interactions entre les deux devraient être de plus en plus significatives. Il ne reste plus qu'à prendre son mal en patience.
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