J'avais fait une chronique complète pour le premier tome, car il y avait beaucoup de choses à en dire, mais je ne pense pas qu'il soit nécessaire de faire de même pour le deuxième, sachant que, au niveau de la forme, les commentaires sont plus ou moins les mêmes. Au niveau du contenu, ce deuxième tome (qui visiblement sera le dernier... snif!) s'attaque à des sujets un peu plus compliqués et plus abstraits que le premier, puisqu'il traite principalement de physique quantique. Bruce l'avait d'ailleurs annoncé dans le premier tome, et j'avoue que j'appréhendais un peu, car évidemment, quand on parle de physique quantique, on se figure quelque chose de très compliqué, très abstrait et incompréhensible (et l'on n'a pas tort, visiblement.) Mais Bruce Benamran réalise le tour de force de nous expliquer les principes de la physique quantique en des termes simples, à grand renforts d'exemples et d'illustrations (ce qui m'avait manqué dans le premier tome, si vous vous en souvenez) tout en parvenant à nous faire comprendre pourquoi, finalement, tout cela est infiniment compliqué (voire impossible) à appréhender à notre échelle. Malgré le côté abstrait du sujet abordé et mes appréhensions initiales, j'ai tout de même trouvé tout cela passionnant, même s'il faut parfois accepter de ne pas comprendre tout ce qui est raconté (j'avoue que la théorie des cordes m'a un peu laissée sur le carreau, entre autres). Tout en restant clair et structuré, Bruce Benamran continue de privilégier le style oralisé et l'humour pour alléger son propos, et cela fonctionne tout aussi bien que dans le premier tome.
Evidemment, en ayant lu et adoré Janua Vera et Gagner la Guerre, je ne pouvais pas passer à côté de ce recueil de nouvelles du Vieux Royaume. Et j'ai retrouvé avec délectation la plume de Jaworski, toujours aussi travaillée, aussi vivante et bien tournée. Même si ces nouvelles ne m'ont pas autant séduite que celles de Janua Vera, elles restent tout de même excellentes, ne serait-ce qu'à cause du style de l'auteur, et parce qu'elles nous permettent d'explorer l'histoire des différentes créatures qui peuplent de Vieux Royaume, car jusqu'ici, on s'était surtout intéressé aux humains. On parle donc ici d'Elfes, de Nains, de Gnomes, mais aussi d'autres créatures bien moins sympathiques. On y retrouve des noms plus ou moins connus, tels qu'Eirin et Annoeth (qui a droit à une nouvelle rien qu'à lui!) et l'on en découvre de nouveaux qui élargissent encore notre connaissance de cet univers (sans pourtant trop en dire, car Jean-Philippe Jaworski aime suggérer sans pour autant nous donner toutes les réponses.) J'ai particulièrement aimé l'avant-dernière nouvelle, "Désolation", où il est question de nains et de gnomes. Outre un hommage direct à Tolkien, j'ai apprécié de découvrir des créatures dont il n'avait pas encore été question jusque là (en dépit du dénouement assez cruel de la nouvelle). Bref, un chouïa en dessous de Janua Vera, mais vraiment très bon quand même.
Evidemment, en ayant lu et adoré Janua Vera et Gagner la Guerre, je ne pouvais pas passer à côté de ce recueil de nouvelles du Vieux Royaume. Et j'ai retrouvé avec délectation la plume de Jaworski, toujours aussi travaillée, aussi vivante et bien tournée. Même si ces nouvelles ne m'ont pas autant séduite que celles de Janua Vera, elles restent tout de même excellentes, ne serait-ce qu'à cause du style de l'auteur, et parce qu'elles nous permettent d'explorer l'histoire des différentes créatures qui peuplent de Vieux Royaume, car jusqu'ici, on s'était surtout intéressé aux humains. On parle donc ici d'Elfes, de Nains, de Gnomes, mais aussi d'autres créatures bien moins sympathiques. On y retrouve des noms plus ou moins connus, tels qu'Eirin et Annoeth (qui a droit à une nouvelle rien qu'à lui!) et l'on en découvre de nouveaux qui élargissent encore notre connaissance de cet univers (sans pourtant trop en dire, car Jean-Philippe Jaworski aime suggérer sans pour autant nous donner toutes les réponses.) J'ai particulièrement aimé l'avant-dernière nouvelle, "Désolation", où il est question de nains et de gnomes. Outre un hommage direct à Tolkien, j'ai apprécié de découvrir des créatures dont il n'avait pas encore été question jusque là (en dépit du dénouement assez cruel de la nouvelle). Bref, un chouïa en dessous de Janua Vera, mais vraiment très bon quand même.