Je l'avoue, je l'avoue, je n'étais pas dès le départ très bien disposée à l'égard des livres d'Anne Robillard. Pour commencer parce que j'avais eu des échos assez mitigés de la saga des Chevaliers d'Emeraude: pas vraiment bien écrit, sympa à lire pour se détendre, somme toute, pas révolutionnaire, et malheureusement à l'intrigue de plus en plus diluée au fil des tomes. Ensuite parce que j'avais lu la discussion avec l'auteur sur Livraddict et que le côté « j'écris dans mes livres ce que je vois en rêve » m'avait paru très surfait et pas forcément attrayant (disons que j'ai eu le sentiment que la dame en question se prenait un peu trop au sérieux. Maintenant, me trompé-je, je ne demande qu'à le croire.) Enfin, au cours de la lecture, ayant commis l'erreur de lire parallèlement le deuxième tome des Aventuriers de la Mer de Robin Hobb, je n'ai pas pu m'empêcher de comparer le style des deux auteurs... comparaison qui a naturellement tourné largement au désavantage de la « J.K. Rowling Québécoise »(sic)
Voilà, tout ça pour dire que ma chronique n'est peut-être que le reflet de ces préventions que j'avais avant de commencer le livre (je n'ai jamais prétendu être neutre, cela dit, mon avis n'engage que moi XD) et que je ne tiens pas du tout à décourager les gens de le lire. Peut-être que, influencée comme je l'étais, j'ai eu plutôt tendance à pointer les défauts que les qualités du livre, je n'en sais rien... bref, lecteurs, lectrices, je vous laisse juger par vous-mêmes.
Voilà, tout ça pour dire que ma chronique n'est peut-être que le reflet de ces préventions que j'avais avant de commencer le livre (je n'ai jamais prétendu être neutre, cela dit, mon avis n'engage que moi XD) et que je ne tiens pas du tout à décourager les gens de le lire. Peut-être que, influencée comme je l'étais, j'ai eu plutôt tendance à pointer les défauts que les qualités du livre, je n'en sais rien... bref, lecteurs, lectrices, je vous laisse juger par vous-mêmes.
L'Empereur Noir, Amecareth, a levé ses armées monstrueuses pour envahir les royaumes du continent d'Enkidiev. Bientôt, la terre de Shola subit les attaques féroces des sinistres dragons et des impitoyables hommes-insectes. Pourquoi les troupes d'Amecareth reviennent-elles sur le continent après des siècles de paix, mettant à feu et à sang le royaume glacé de Shola ? Les sept Chevaliers d'Émeraude - six hommes et une femme - sont les seuls à pouvoir percer ce mystère, inverser le destin et repousser les forces du Mal. Ils devront pour cela accomplir l'étrange prophétie qui lie Kira, une petite fille de deux ans, au sort du monde.
Tout d'abord, j'ai été un peu rebutée par l'écriture pompeuse, grandiloquente, qui finalement ne véhicule qu'un lot de clichés, d'images convenues, d'autant que le registre adopté ne correspond pas toujours à l'effet que semble vouloir donner l'auteur (comme le faisait déjà remarquer Marmotte dans ses propres chroniques des Chevaliers, des termes aussi familiers que « bouquin » au milieu de ces phrases d'un registre relativement soutenu, cela frise le ridicule...). Si l'on occulte les expressions que je crois typiquement québécoises (du type « vider la question ») et qui sont en l'occurrence acceptables, certaines tournures de phrases m'ont malgré tout fait tiquer, et l'écriture est de toute façon froide, plate, sans âme et sans attrait.
A cela s'ajoute une histoire qui traîne en longueur, à l'enchaînement un peu simple (pour ne pas dire simpliste) et qui manque de crédibilité, moins par les faits même que par l'insistance avec laquelle ils sont développés (définitivement non, combattre des dragons en creusant des trous ne ressemble pas à l'idée que je me fais d'une préparation de guerre. Malgré tout, cette histoire de fosse occupe près des trois quarts du roman sans donner l'impression de faire avancer le schmilblick, et passerait sans doute mieux inséré à un dispositif de défense plus développé, quitte à être un peu plus traditionnel... d'autant que finalement, cette bataille préparée sur une large partie de ce tome ne dure finalement que trois-quatre pages (avec une phrase complètement surréaliste qui résume le combat, du genre « les adversaires étaient dix fois plus nombreux, mais ils en vinrent à bout facilement »... ce qui est d'une logique imparable, avouons-le...).
Autre point noir, l'accent mis dès le début du livre sur l'amour éperdu de Wellan pour la reine Fan de Shola, qui, par son côté complètement improbable, et à force d'être accentué en devient agaçant au lieu d'être touchant. Wellan a quand même le bon goût de reconnaître qu'il n'a entr'aperçu cette femme que quelques minutes, ce qui ne l'empêche pas d'en perdre le boire et le manger, de se consumer d'amour et de voir son monde s'écrouler autour de lui quand il apprend qu'elle est peut-être en danger... Plus d'une fois les réactions excessives du personnage m'ont fait lever les yeux au ciel. Et pourtant, ce n'est pas faute d'être sentimentale. Mais quand même... il y a des bornes aux limites.
Au niveau des personnages, en dehors de Kira, que je trouve parfaitement adorable et de surcroit très intéressante au niveau de son histoire et des énigmes qui l'entourent, les personnages, leurs relations et leurs caractère sont si peu développés qu'aucun ne parvient à réellement marquer l'esprit. Jasson m'a plu par son côté insouciant et un peu gaffeur. Mais les Chevaliers se doivent tellement d'être parfait qu'ils en deviennent profondément ennuyeux. Wellan, qui a le malheur d'être le personnage le plus creusé, n'a suscité en moi qu'une aversion assez extraordinaire (le seul défaut qu'il ait est de ne pas savoir maîtriser sa colère, colère qui se déclenche si fréquemment pour un oui ou pour un non que Wellan ne m'est apparu finalement que comme un sinistre rabat-joie. D'autant que compte tenu de son caractère que l'on décrit comme solitaire, je m'attendais à un peu de complication à l'attribution de son écuyer. Fort heureusement pour la petite Bridgess, Wellan se découvre juste à temps un sentiment paternel refoulé... bon je cesse de casser du sucre sur le dos de ce pauvre Chevalier XD.) Dans l'ensemble, les personnages sont effleurés, et on ne parvient pas à ressentir les choses comme eux (sans doute aussi, pour ma part, parce que j'ai trouvé leurs jugements très superficiels pour des héros censés protéger tout un continent...). Bref, à part Kira et éventuellement Jasson, aucun personnage ne m'a paru pour l'instant fondamentalement attachant.
Je passe sur les facultés télépathique caricaturales « il lut dans son coeur », « il sonda son esprit », « il ne perçut dans son coeur aucune intention hostile » et autres banalités du même tonneau. Encore une fois, ce pourrait-être crédible si c'était plus subtil et si ce genre de pratique n'était pas répété quasiment à chaque page (j'avoue que l'expression « se brancher sur les pensées » m'a évoqué l'image absurde d'un wi-fi télépathique. Difficile de prendre ce don au sérieux quand on y associe l'usage de termes d'une telle trivialité.)
Malgré tout (quand même, j'ai lu le livre jusqu'au bout, il y a bien une raison ^^) il y a un côté vaguement addictif tout au long de l'histoire qui fait que l'on se sent obligé de le lire jusqu'à la fin. Peut-être l'envie de savoir comment s'en sortiront les chevaliers face aux forces d'Amecareth, de voir évoluer les Ecuyers avec leurs chevaliers, et surtout (parce que c'est essentiellement ça qui m'a intéressée, pour être franche) on veut savoir ce que va devenir Kira et quel sera son rôle dans les évènements d'Enkidiev. Si j'ai tiqué plus d'une fois, soupiré, levé les yeux au ciel et secoué la tête avec dépit, je me suis tout de même laissée prendre au jeu, et j'avoue avoir parfois eu du mal à en décrocher (hum, peut-être aussi dans l'espoir qu'enfin il allait finir par se passer quelque chose d'intéressant... non, cessons d'être médisante XD). Finalement j'ai plutôt eu le sentiment que l'intrigue de ce premier tome était surtout un prétexte à visiter et présenter toutes les régions d'Enkidiev en même temps que leurs souverains et les chevaliers et rappeler l'histoire du continent. Un tome pour planter le décor en somme. Ce qui laisse supposer que la suite sera peut-être un peu plus mouvementée, je l'espère en tout cas, car l'idée de base des Chevaliers d'Emeraude n'est finalement pas mauvaise en soi et pourrait donner lieu à des développements intéressants.
Pour conclure, si je ne peux pas affirmer avoir détesté ce livre, car certains aspects, certains personnages m'ont plu et j'ai tout de même pris un certain intérêt à suivre leurs pérégrinations, on ne peut pas dire que j'aie vraiment aimé non plus. J'aurais aimé voir un peu plus de choses approfondies, un peu moins de clichés et un peu plus d'action, et même pour un roman jeunesse, une écriture un peu plus fouillée, un peu plus vivace aurait été appréciable. Quant à l'étiquette de "J.K Rowling québécoise" d'Anne Robillard, j'avoue que j'ai encore beaucoup de mal à la comprendre, attendu que ce que j'ai pu voir de son style et de son univers est de loin beaucoup plus brouillon et beaucoup moins réaliste et captivant que ceux de la maman d'Harry Potter. Néanmoins, je pense que je lirai le deuxième tome, juste pour voir si l'on y trouve ce qui manquait dans le tome 1 et si l'intrigue gagne un peu plus en profondeur.
A cela s'ajoute une histoire qui traîne en longueur, à l'enchaînement un peu simple (pour ne pas dire simpliste) et qui manque de crédibilité, moins par les faits même que par l'insistance avec laquelle ils sont développés (définitivement non, combattre des dragons en creusant des trous ne ressemble pas à l'idée que je me fais d'une préparation de guerre. Malgré tout, cette histoire de fosse occupe près des trois quarts du roman sans donner l'impression de faire avancer le schmilblick, et passerait sans doute mieux inséré à un dispositif de défense plus développé, quitte à être un peu plus traditionnel... d'autant que finalement, cette bataille préparée sur une large partie de ce tome ne dure finalement que trois-quatre pages (avec une phrase complètement surréaliste qui résume le combat, du genre « les adversaires étaient dix fois plus nombreux, mais ils en vinrent à bout facilement »... ce qui est d'une logique imparable, avouons-le...).
Autre point noir, l'accent mis dès le début du livre sur l'amour éperdu de Wellan pour la reine Fan de Shola, qui, par son côté complètement improbable, et à force d'être accentué en devient agaçant au lieu d'être touchant. Wellan a quand même le bon goût de reconnaître qu'il n'a entr'aperçu cette femme que quelques minutes, ce qui ne l'empêche pas d'en perdre le boire et le manger, de se consumer d'amour et de voir son monde s'écrouler autour de lui quand il apprend qu'elle est peut-être en danger... Plus d'une fois les réactions excessives du personnage m'ont fait lever les yeux au ciel. Et pourtant, ce n'est pas faute d'être sentimentale. Mais quand même... il y a des bornes aux limites.
Au niveau des personnages, en dehors de Kira, que je trouve parfaitement adorable et de surcroit très intéressante au niveau de son histoire et des énigmes qui l'entourent, les personnages, leurs relations et leurs caractère sont si peu développés qu'aucun ne parvient à réellement marquer l'esprit. Jasson m'a plu par son côté insouciant et un peu gaffeur. Mais les Chevaliers se doivent tellement d'être parfait qu'ils en deviennent profondément ennuyeux. Wellan, qui a le malheur d'être le personnage le plus creusé, n'a suscité en moi qu'une aversion assez extraordinaire (le seul défaut qu'il ait est de ne pas savoir maîtriser sa colère, colère qui se déclenche si fréquemment pour un oui ou pour un non que Wellan ne m'est apparu finalement que comme un sinistre rabat-joie. D'autant que compte tenu de son caractère que l'on décrit comme solitaire, je m'attendais à un peu de complication à l'attribution de son écuyer. Fort heureusement pour la petite Bridgess, Wellan se découvre juste à temps un sentiment paternel refoulé... bon je cesse de casser du sucre sur le dos de ce pauvre Chevalier XD.) Dans l'ensemble, les personnages sont effleurés, et on ne parvient pas à ressentir les choses comme eux (sans doute aussi, pour ma part, parce que j'ai trouvé leurs jugements très superficiels pour des héros censés protéger tout un continent...). Bref, à part Kira et éventuellement Jasson, aucun personnage ne m'a paru pour l'instant fondamentalement attachant.
Je passe sur les facultés télépathique caricaturales « il lut dans son coeur », « il sonda son esprit », « il ne perçut dans son coeur aucune intention hostile » et autres banalités du même tonneau. Encore une fois, ce pourrait-être crédible si c'était plus subtil et si ce genre de pratique n'était pas répété quasiment à chaque page (j'avoue que l'expression « se brancher sur les pensées » m'a évoqué l'image absurde d'un wi-fi télépathique. Difficile de prendre ce don au sérieux quand on y associe l'usage de termes d'une telle trivialité.)
Malgré tout (quand même, j'ai lu le livre jusqu'au bout, il y a bien une raison ^^) il y a un côté vaguement addictif tout au long de l'histoire qui fait que l'on se sent obligé de le lire jusqu'à la fin. Peut-être l'envie de savoir comment s'en sortiront les chevaliers face aux forces d'Amecareth, de voir évoluer les Ecuyers avec leurs chevaliers, et surtout (parce que c'est essentiellement ça qui m'a intéressée, pour être franche) on veut savoir ce que va devenir Kira et quel sera son rôle dans les évènements d'Enkidiev. Si j'ai tiqué plus d'une fois, soupiré, levé les yeux au ciel et secoué la tête avec dépit, je me suis tout de même laissée prendre au jeu, et j'avoue avoir parfois eu du mal à en décrocher (hum, peut-être aussi dans l'espoir qu'enfin il allait finir par se passer quelque chose d'intéressant... non, cessons d'être médisante XD). Finalement j'ai plutôt eu le sentiment que l'intrigue de ce premier tome était surtout un prétexte à visiter et présenter toutes les régions d'Enkidiev en même temps que leurs souverains et les chevaliers et rappeler l'histoire du continent. Un tome pour planter le décor en somme. Ce qui laisse supposer que la suite sera peut-être un peu plus mouvementée, je l'espère en tout cas, car l'idée de base des Chevaliers d'Emeraude n'est finalement pas mauvaise en soi et pourrait donner lieu à des développements intéressants.
Pour conclure, si je ne peux pas affirmer avoir détesté ce livre, car certains aspects, certains personnages m'ont plu et j'ai tout de même pris un certain intérêt à suivre leurs pérégrinations, on ne peut pas dire que j'aie vraiment aimé non plus. J'aurais aimé voir un peu plus de choses approfondies, un peu moins de clichés et un peu plus d'action, et même pour un roman jeunesse, une écriture un peu plus fouillée, un peu plus vivace aurait été appréciable. Quant à l'étiquette de "J.K Rowling québécoise" d'Anne Robillard, j'avoue que j'ai encore beaucoup de mal à la comprendre, attendu que ce que j'ai pu voir de son style et de son univers est de loin beaucoup plus brouillon et beaucoup moins réaliste et captivant que ceux de la maman d'Harry Potter. Néanmoins, je pense que je lirai le deuxième tome, juste pour voir si l'on y trouve ce qui manquait dans le tome 1 et si l'intrigue gagne un peu plus en profondeur.
RépondreSupprimerEn effet, tu n'as pas été tendre avec la pauvre Anne Robillard :)
Je suis tout d'un coup moins pressée de lire le tome 1... Mais bon j'essayerais quand même ! Pourtant cette saga a beaucoup fait parler d'elle, je serais vraiment déçue si sa réputation ne se
justifiait pas !
RépondreSupprimerWi, ma chronique ne doit pas être encourageante ^^". Mais encore une fois, j'avais eu pas mal d'échos assez négatifs, ça a dû jouer un peu aussi. Et puis bon, tout n'est pas à jeter, je n'irai
pas jusque là. D'après d'autres critiques que j'ai lu, le deuxième tome est un peu plus mouvementé, donc j'espère encore qu'il pourra changer mon avis sur ce début de saga ^^.
RépondreSupprimerJ'ai eu exactement la même impression que toi, quoique je ne l'ai peut-être pas analysée de la même façon, à la fin de ce premier tome. Les personnages de Kira et Santo, que j'aime bien aussi,
m'ont poussée à continuer, mais pour l'instant j'ai calé au tome 9, et je me demande vraiment si je vais reprendre, car je trouve que l'écriture ne va pas en s'améliorant...^^ En tout cas ça me
rassure de voir que je ne suis pas la seule de cet avis :p
RépondreSupprimerJ'avoue que parmi les Chevaliers, Santo ne m'a pas vraiment marquée pour l'instant, je crois que j'ai surtout aimé Jasson parce qu'il passe son temps à enquiquiner Wellan et que j'aime pas Wellan
XD! Mais Kira est vraiment le seul personnage que j'ai trouvé vraiment attachant, le seul qui ait un minimum de présence... c'est vraiment bizarre, mais pour moi, les Chevaliers ne dépassent pas
le stade de créatures de papier. Si je devais mettre des mots dessus, je dirais qu'ils n'arrivent pas à prendre une vie propre, on sent qu'ils sont les marionnettes de l'auteur, tu vois ce que je
veux dire? C'est vraiment ça qui me pose problème, parce que l'histoire, en soi, ça reste plutôt sortable... enfin, peut-être que ça s'améliore par la suite, j'espère, en tout cas.
RépondreSupprimerOui je vois ce que tu veux dire... Pour ce qui est de l'histoire "sortable" pourquoi pas, après tout, c'est du jeunesse, et il y a certainement eu pire, mais pas la peine d'en faire 12 tomes
alors que ça aurait pu être une simple (et peut-être belle) trilogie... Et puis ce style, toujours ce style.... :p
RépondreSupprimerwi... je crois que c'est vraiment la première chose qui bloque, j'ai carrément eu l'impression que l'écriture faisait barrière entre le texte et moi. J'ai eu le même ressenti qu'en lisant la
Prophétie des Pierres de Flavia Bujor... sauf que Flavia Bujor avait 13 ans quand elle a écrit son livre, donc son style est encore excusable XD! Je plussoie pour l'idée de trilogie, ça nous
aurait évité des répétitions de situations et des développements sans intérêt.
RépondreSupprimerJe connais assez mal l'univers d'Anne Robillard mais je dois avouer que chaque percée dans son monde m'a totalement enchantée...
Je viens d'ailleurs de publier mon avis sur le premier tome des "Héritiers d'Ekidiev : Renaissance" sur mon blog, suite à mon partenariat Livraddict avec les Editions Michel Lafon.
Joli article, je reviendrais ;)
Bonne continuation !!
RépondreSupprimerJe dois bien avouer que l'univers d'Anne Robillard ne m'a pas du tout convaincue, pour ma part, j'ai vraiment eu du mal à entrer dans l'histoire et je ne me suis pas du tout attachée aux
personnages, en dehors de Kira. Evidemment, après je comprends que l'on puisse aimer, elle a un côté addictif à sa manière ^^, malheureusement, je n'y ai pas accroché. Je compte quand même faire
une tentative du côté de A.N.G.E, pour voir si le courant passera mieux ^^.
Merci d'être passée!
RépondreSupprimeralors là ... je suis heureuse de lire cette critique... J'ai moi aussi participer à la discution sur livraddict et l'auteur m'a paru aussi se prendre un peu trop au sérieux... faire bcp de pub et
autre marketing... j'ai tenté une lecture mais n'ai même pas terminé le premier tome tant le style m'a barbé !!!
RépondreSupprimerOuf, je suis contente de ne pas être la seule à avoir eu cette impression. Personnellement, cette première rencontre avec le style d'Anne Robillard ne m'a pas du tout convaincue, mais après je ne
m'interdis pas de m'essayer à A.N.G.E, il paraît que c'est un peu mieux... à vérifier ^^!