Lorsque le Hobbit Frodo Baggins découvre que l'anneau d'or qu'il a hérité de son oncle Bilbo n'est autre que le légendaire Anneau de Pouvoir, l'Anneau Unique forgé par le seigneur maléfique Sauron, qui tient à le récupérer par tous les moyens, il n'a d'autre choix que de quitter la Comté où il vivait en paix, avec son jardiner Samwise, et ses deux jeunes cousins Peregrin et Meriadoc. Mais déjà une poursuite s'est engagée derrière les Hobbits...
Je ne dirai pas que ce premier tome est mon préféré de la trilogie (puisqu'à chaque fois que je lis un des trois tomes, de toute façon, je trouve que c'est mon préféré de la trilogie =P) mais je trouve qu'il a une saveur particulière qui le différencie assez des deux autres tomes, et qui me plaît particulièrement. Bien évidemment d'abord, parce qu'il s'agit du début et que pour cette raison, on sent beaucoup moins planer ici que sur les deux autres tomes le spectre de la guerre, et la montée du pouvoir de Sauron (même si cet aspect est loin d'être absent évidemment). Ensuite parce que ce premier tome est assez linéaire, et suit assez clairement un cheminement vers un but. On voit donc durant tout ce tome des personnages plus ou moins livrés à eux-même faire connaissance, s'attacher les uns aux autres, et établir des relations plus ou moins amicales, au cours d'un périple secret et quasi-désespéré. Et si cela peut sembler ennuyeux, j'aime beaucoup cette première partie de trilogie, où les personnages ne sont pas encore éparpillés aux quatre coins de la Terre du Milieu, et où l'on peut encore les voir cheminer tous ensemble, vers le même objectif.
Pour ce qui concerne le reproche souvent adressé à la première partie du roman, il est vrai que les premiers chapitres, ou plutôt les premières annexes du livre, bien que très intéressantes en elles mêmes, renvoient à des éléments de l'univers de Tolkien qui ne parlent pas beaucoup à une personne peu familière de cet univers. Connaître le détail de l'art de fumer l'herbe à pipe, ou les différenciations entre les familles de Hobbits quand on n'a qu'une vague idée de ce qu'est simplement un Hobbit n'est pas ce qu'il y a de plus passionnant. Voilà pourquoi je conseille toujours pour ne pas se décourager de la lecture dès le début, de passer sur ces annexes, pour y revenir à la fin, et commencer la lecture tout simplement par le chapitre 1 du livre 1 « A Long Expected Party » (un titre assez amusant d'ailleurs, qui renvoie à celui du premier chapitre de The Hobbit « An Unexpected Party », un indice qui montre déjà que, quand le récit s'y prête, Tolkien ne manque pas d'humour.)
Tout comme le Hobbit ou les récits du Silmarillion, Tolkien traite son récit comme un chapitre d'une histoire bien plus vaste qui cette fois, fait directement suite, et découle, de la découverte de l'Anneau par Bilbo. Beaucoup de références sont faites à l'aventure de Bilbo, mais rarement explicitées (on suppose que le Seigneur des Anneaux se passe dans la continuité du Hobbit et que les lecteurs connaissent déjà les détails de cette aventure qui ne sont pas rappelés.) Cela peut créer des confusions qui ne sont cependant pas gênantes pour la poursuite de l'histoire, car l'ensemble du récit de la découverte de l'Anneau est rappelé dans les détails (sous une forme que je trouve pour ma part captivante, avec Gandalf racontant le cheminement qui l'a conduit à soupçonner la véritable nature de l'Anneau de Bilbo. Un passage que j'affectionne particulièrement, puisque c'est à ce moment lors de ma première lecture (il y a dix ans quand même... comme le temps passe...) que j'ai commencé à prendre un véritable intérêt pour l'histoire, intérêt qui n'a plus faibli ensuite!)
On sent très vite une évolution dans le ton de Tolkien et dans la manière dont il raconte son récit. Les premiers chapitres, dans la Comté sont racontés sur un ton assez vif, avec beaucoup d'humour (la distribution des cadeaux de Bilbo et les petits mots qu'il laisse à ses amis et relations sont particulièrement savoureux). Mais cet humour s'estompe peu à peu, au fur et à mesure que le danger grandit autour des Hobbits. L'atmosphère de la Vieille Forêt et des Galgals est oppressante et sombre, celle du Poney Fringant chaleureuse, et en même temps étrange, laissant deviner des choses inquiétantes...
Le récit alterne entre des moments de tension forte (la poursuite par les Cavaliers Noirs, Le Vieil Homme-Saule, Les Hauts des Galgals, Weathertop, le Gué de Bruinen etc...) et d'autres de répit (l'arrêt au Creux-de-Crique, Tom Bombadil, le Poney Fringant, Rivendell...) qui rythment le périple des compagnons. Le début peut sembler relativement long à la première lecture, principalement parce que les personnages principaux semblent simplement fuir de péril en péril et ne pas toujours avoir prise sur ce qui leur arrive. D'autant que la formation de la Communauté proprement dite n'intervient pas avant les 2/3 du livre. Mais elle a le mérite de mette au premier plan les Hobbits et de montrer que malgré leur amour de la bonne chère, de la bière et de l'herbe à pipe, ils peuvent néanmoins se montrer vaillants et loyaux, et cela nous les rend immédiatement attachants. D'autant que cette première partie nous apprend tout de même pas mal de choses sur les enjeux du récit, et laisse planer des mystères qui ne sont pas toujours immédiatement résolus.
On sent d'ailleurs une différence de ton entre le premier et le deuxième livre à ce niveau (avant et après le Conseil d'Elrond pour donner une idée. Un autre passage que j'affectionne particulièrement, de la même manière que le récit de Gandalf au tout début du roman). Dans la première partie, les personnages fuient de péril en péril, mais leur objectif est encore, pour eux, assez obscur. Ils n'ont pas forcément conscience du pouvoir maléfique de l'Anneau, et leur but ultime est Rivendell où ils pensent pouvoir mettre ce fardeau entre des mains plus compétentes. C'est dans la deuxième partie que la quête débute véritablement, et les Hobbits semblent parfois un peu perdus dans cette aventure qui semble à première vue trop grande pour eux (particulièrement Merry et Pippin, qui sont plus effacés dans cette partie du livre que dans la première... A mon grand désarroi, parce que Pippin est quand même la version littéraire de l'homme de ma vie :P)
Parlons donc des personnages, puisque c'est dans ce premier tome que se forme la fameuse Communauté dont on va suivre les compagnons durant toute la trilogie. Autant dire que l'on s'attache très rapidement à chacun d'entre eux: aux Hobbits d'abord, puisque ce sont les premiers personnages que l'on rencontre, et il est assez sympathique de voir ces petits bonshommes si attachés à leur confort et à leur foyer partir à l'aventure, avec plus ou moins d'appréhension. Entre Frodon qui ne quitte Cul-de-Sac qu'à regret, poussé par la nécessité, Sam attaché jusqu'à la racine à sa bonne terre de la Comté mais qui suivrait son maître n'importe où, Merry et Pippin, les meilleurs amis de Frodon qui refusent d'être séparés de leur cousin sans toujours avoir vraiment conscience des risques de l'entreprise dans laquelle ils s'engagent... Tous ont un caractère particulier, tous sont attachants à leur manière et tous sont amenés à évoluer au cours du récit.
Mais les autres membres de la Communauté ne sont pas en reste, d'abord parce qu'ils représentent l'union de peuples très différents et qui n'ont pas toujours eu des intérêts communs. Outre le fait qu'il soit assez amusant de voir confrontées ces différentes cultures et ces différents caractères, il est aussi assez sympathique de voir comment ils arrivent à s'accorder (ou non), et de quelle manière les relations entre des espèces sans vraiment d'affinités se nouent néanmoins en dépit de tout (je pense notamment à Legolas et Gimli dont la relation me plaît énormément et dont le duo représente souvent une bouffée d'oxygène dans des moments ou la tension est particulièrement lourde).
Restent les hommes évidemment: Aragorn, le Rôdeur qui s'avère être le descendant d'Isildur, et qui oscille constamment entre une attitude effacée, discrète et efficace, et la prestance et le pouvoir que l'on sent déjà pointer chez un descendant de rois. Malgré son illustre lignée, il ne revendique rien pour lui même, reste humble et droit, et c'est un personnage sur lequel on apprécie de pouvoir se reposer durant les coups durs. Au contraire, Boromir est en apparence plus antipathique, et semble être l'exact contraire d'Aragorn. Fier et hardi, il ne manque pas de bravoure, mais manifeste dès le début son incompréhension des conseils d'Elrond et de Gandalf, et l'on sent assez vite que l'Anneau aura sur lui une emprise qu'il n'aura pas, ou du moins pas immédiatement, sur les autres. C'est un personnage que j'apprécie beaucoup précisément pour cette complexité, cette espèce de fierté, presque d'arrogance guerrière, et la confiance dans sa propre force qui l'amènera à commettre tôt ou tard les pires erreurs.
Bref, ce premier tome, avec une intrigue plus linéaire que les autres, est cependant une manière d'entrer en matière, de se familiariser avec les enjeux du récit et les personnages que je trouve particulièrement plaisante. Au cours de ces deux livres, on traverse des contrées plus ou moins étranges, plus ou moins accueillantes, de la Comté à la Moria en passant par la Vieille Forêt du Nord, Rivendell ou la Lothlorien, et jusqu'à des territoires désertiques qui ne sont pas pour autant sans danger: Les Terres Sauvages à l'est de Bree, Houssaye ou la descente de l'Anduin par la compagnie vers Tol Brandir et les chutes de Rauros. On parle moins de guerre dans ce tome-ci que d'une véritable quête, qui doit être avant tout discrète, et si l'on a parfois des combats, il n'est pas question ici de grands exploits ni de hauts faits héroïques. C'est la raison pour laquelle j'ai une affection particulière pour ce premier tome, qui nous fait plonger dès le départ dans une atmosphère que l'on ne retrouvera pas forcément dans le reste de la trilogie, et qui nous attache dès le départ de façon très efficace à l'ensemble des personnages que l'on suivra tout au long des trois tomes.
Puisque je n'ai pas évoqué encore un élément essentiel de cette trilogie (entre autres), c'est à dire les divers poèmes et chansons qui parcourent le récit, voilà un échantillon, mis en musique par le Tolkien Ensemble.
Pour ce qui concerne le reproche souvent adressé à la première partie du roman, il est vrai que les premiers chapitres, ou plutôt les premières annexes du livre, bien que très intéressantes en elles mêmes, renvoient à des éléments de l'univers de Tolkien qui ne parlent pas beaucoup à une personne peu familière de cet univers. Connaître le détail de l'art de fumer l'herbe à pipe, ou les différenciations entre les familles de Hobbits quand on n'a qu'une vague idée de ce qu'est simplement un Hobbit n'est pas ce qu'il y a de plus passionnant. Voilà pourquoi je conseille toujours pour ne pas se décourager de la lecture dès le début, de passer sur ces annexes, pour y revenir à la fin, et commencer la lecture tout simplement par le chapitre 1 du livre 1 « A Long Expected Party » (un titre assez amusant d'ailleurs, qui renvoie à celui du premier chapitre de The Hobbit « An Unexpected Party », un indice qui montre déjà que, quand le récit s'y prête, Tolkien ne manque pas d'humour.)
Tout comme le Hobbit ou les récits du Silmarillion, Tolkien traite son récit comme un chapitre d'une histoire bien plus vaste qui cette fois, fait directement suite, et découle, de la découverte de l'Anneau par Bilbo. Beaucoup de références sont faites à l'aventure de Bilbo, mais rarement explicitées (on suppose que le Seigneur des Anneaux se passe dans la continuité du Hobbit et que les lecteurs connaissent déjà les détails de cette aventure qui ne sont pas rappelés.) Cela peut créer des confusions qui ne sont cependant pas gênantes pour la poursuite de l'histoire, car l'ensemble du récit de la découverte de l'Anneau est rappelé dans les détails (sous une forme que je trouve pour ma part captivante, avec Gandalf racontant le cheminement qui l'a conduit à soupçonner la véritable nature de l'Anneau de Bilbo. Un passage que j'affectionne particulièrement, puisque c'est à ce moment lors de ma première lecture (il y a dix ans quand même... comme le temps passe...) que j'ai commencé à prendre un véritable intérêt pour l'histoire, intérêt qui n'a plus faibli ensuite!)
On sent très vite une évolution dans le ton de Tolkien et dans la manière dont il raconte son récit. Les premiers chapitres, dans la Comté sont racontés sur un ton assez vif, avec beaucoup d'humour (la distribution des cadeaux de Bilbo et les petits mots qu'il laisse à ses amis et relations sont particulièrement savoureux). Mais cet humour s'estompe peu à peu, au fur et à mesure que le danger grandit autour des Hobbits. L'atmosphère de la Vieille Forêt et des Galgals est oppressante et sombre, celle du Poney Fringant chaleureuse, et en même temps étrange, laissant deviner des choses inquiétantes...
Le récit alterne entre des moments de tension forte (la poursuite par les Cavaliers Noirs, Le Vieil Homme-Saule, Les Hauts des Galgals, Weathertop, le Gué de Bruinen etc...) et d'autres de répit (l'arrêt au Creux-de-Crique, Tom Bombadil, le Poney Fringant, Rivendell...) qui rythment le périple des compagnons. Le début peut sembler relativement long à la première lecture, principalement parce que les personnages principaux semblent simplement fuir de péril en péril et ne pas toujours avoir prise sur ce qui leur arrive. D'autant que la formation de la Communauté proprement dite n'intervient pas avant les 2/3 du livre. Mais elle a le mérite de mette au premier plan les Hobbits et de montrer que malgré leur amour de la bonne chère, de la bière et de l'herbe à pipe, ils peuvent néanmoins se montrer vaillants et loyaux, et cela nous les rend immédiatement attachants. D'autant que cette première partie nous apprend tout de même pas mal de choses sur les enjeux du récit, et laisse planer des mystères qui ne sont pas toujours immédiatement résolus.
On sent d'ailleurs une différence de ton entre le premier et le deuxième livre à ce niveau (avant et après le Conseil d'Elrond pour donner une idée. Un autre passage que j'affectionne particulièrement, de la même manière que le récit de Gandalf au tout début du roman). Dans la première partie, les personnages fuient de péril en péril, mais leur objectif est encore, pour eux, assez obscur. Ils n'ont pas forcément conscience du pouvoir maléfique de l'Anneau, et leur but ultime est Rivendell où ils pensent pouvoir mettre ce fardeau entre des mains plus compétentes. C'est dans la deuxième partie que la quête débute véritablement, et les Hobbits semblent parfois un peu perdus dans cette aventure qui semble à première vue trop grande pour eux (particulièrement Merry et Pippin, qui sont plus effacés dans cette partie du livre que dans la première... A mon grand désarroi, parce que Pippin est quand même la version littéraire de l'homme de ma vie :P)
Parlons donc des personnages, puisque c'est dans ce premier tome que se forme la fameuse Communauté dont on va suivre les compagnons durant toute la trilogie. Autant dire que l'on s'attache très rapidement à chacun d'entre eux: aux Hobbits d'abord, puisque ce sont les premiers personnages que l'on rencontre, et il est assez sympathique de voir ces petits bonshommes si attachés à leur confort et à leur foyer partir à l'aventure, avec plus ou moins d'appréhension. Entre Frodon qui ne quitte Cul-de-Sac qu'à regret, poussé par la nécessité, Sam attaché jusqu'à la racine à sa bonne terre de la Comté mais qui suivrait son maître n'importe où, Merry et Pippin, les meilleurs amis de Frodon qui refusent d'être séparés de leur cousin sans toujours avoir vraiment conscience des risques de l'entreprise dans laquelle ils s'engagent... Tous ont un caractère particulier, tous sont attachants à leur manière et tous sont amenés à évoluer au cours du récit.
Mais les autres membres de la Communauté ne sont pas en reste, d'abord parce qu'ils représentent l'union de peuples très différents et qui n'ont pas toujours eu des intérêts communs. Outre le fait qu'il soit assez amusant de voir confrontées ces différentes cultures et ces différents caractères, il est aussi assez sympathique de voir comment ils arrivent à s'accorder (ou non), et de quelle manière les relations entre des espèces sans vraiment d'affinités se nouent néanmoins en dépit de tout (je pense notamment à Legolas et Gimli dont la relation me plaît énormément et dont le duo représente souvent une bouffée d'oxygène dans des moments ou la tension est particulièrement lourde).
Restent les hommes évidemment: Aragorn, le Rôdeur qui s'avère être le descendant d'Isildur, et qui oscille constamment entre une attitude effacée, discrète et efficace, et la prestance et le pouvoir que l'on sent déjà pointer chez un descendant de rois. Malgré son illustre lignée, il ne revendique rien pour lui même, reste humble et droit, et c'est un personnage sur lequel on apprécie de pouvoir se reposer durant les coups durs. Au contraire, Boromir est en apparence plus antipathique, et semble être l'exact contraire d'Aragorn. Fier et hardi, il ne manque pas de bravoure, mais manifeste dès le début son incompréhension des conseils d'Elrond et de Gandalf, et l'on sent assez vite que l'Anneau aura sur lui une emprise qu'il n'aura pas, ou du moins pas immédiatement, sur les autres. C'est un personnage que j'apprécie beaucoup précisément pour cette complexité, cette espèce de fierté, presque d'arrogance guerrière, et la confiance dans sa propre force qui l'amènera à commettre tôt ou tard les pires erreurs.
Bref, ce premier tome, avec une intrigue plus linéaire que les autres, est cependant une manière d'entrer en matière, de se familiariser avec les enjeux du récit et les personnages que je trouve particulièrement plaisante. Au cours de ces deux livres, on traverse des contrées plus ou moins étranges, plus ou moins accueillantes, de la Comté à la Moria en passant par la Vieille Forêt du Nord, Rivendell ou la Lothlorien, et jusqu'à des territoires désertiques qui ne sont pas pour autant sans danger: Les Terres Sauvages à l'est de Bree, Houssaye ou la descente de l'Anduin par la compagnie vers Tol Brandir et les chutes de Rauros. On parle moins de guerre dans ce tome-ci que d'une véritable quête, qui doit être avant tout discrète, et si l'on a parfois des combats, il n'est pas question ici de grands exploits ni de hauts faits héroïques. C'est la raison pour laquelle j'ai une affection particulière pour ce premier tome, qui nous fait plonger dès le départ dans une atmosphère que l'on ne retrouvera pas forcément dans le reste de la trilogie, et qui nous attache dès le départ de façon très efficace à l'ensemble des personnages que l'on suivra tout au long des trois tomes.
Puisque je n'ai pas évoqué encore un élément essentiel de cette trilogie (entre autres), c'est à dire les divers poèmes et chansons qui parcourent le récit, voilà un échantillon, mis en musique par le Tolkien Ensemble.
La chanson de marche de Bilbon.
Une chanson de Tom Bombadil
La chanson de Galadriel en Lothlorien
Je crois que le premier est également mon préféré, surtout pour l'ambiance moins oppressante.
RépondreSupprimerBen je n'arrive pas vraiment à décider quel tome est mon préféré, je les trouve tout aussi géniaux les uns que les autres ^^! Mais le premier plante le décor et nous fait entrer dans l'histoire, donc il a un ton un peu différent des deux autres, et ça me plaît beaucoup ^^!
SupprimerMoi non plus je n'arrive pas à décider quel est mon préféré mais j'adore ce premier tome, pour tout ce que tu as dit.
RépondreSupprimerRien à ajouter : chapeau !!!